
Nous pensons à tous nos amis haïtiens et étrangers qui travaillent, vivent et aiment si fortement ce pays...
D'où vient cette tradition de baptiser ces ouragans meurtriers de noms féminins comme pour les apprivoiser et éloigner leur puissance destructrice...
Et chaque année, à chaque saison des pluies, les mêmes phénomènes s'acharnent sur cette île qui n'a plus de quoi résister : déforestation presque totale, bassins versants qui provoquent des crues importantes qui emportent tout sur leur passage...
Haïti chérie, nous t'aimons et prions pour toi et pou tout moun lot bô !